Événements et dynamiques centrés sur l'écologie à Bagnères de Bigorre. Car informer n'est plus un droit mais un devoir ! Diffusion régulières de dossiers et de fiches pratiques en lien avec nos idées (vertes) et nos partenaires.
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Céline Mounié
20 ans, étudiante en journalisme à l’IUT de (...)
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Google se repaie une image de marque : engagée, solidaire, et verte au point de virer pas mûre. Depuis que sa rubrique « Sensibilisation mondiale » a été mise en place, le géant de l’information est de tous les combats.
Les petits onglets s’appellent Unicef, Greenpeace ou Goodplanet. L’objectif du programme ? « Aider les organismes à but non lucratif du monde entier [à] présenter et faire connaître leurs activités », affirme le premier moteur de recherche de la planète.
L’internaute passe ainsi de la vue du ciel de son chez-lui à la localisation des espèces en danger, en passant par les hauts lieux du commerce équitable. Tout cela en un clic (sur ce lien).
Un compteur d’arbres
La dernière nouveauté de Google Earth s’attaque à la déforestation. La carte en 3D rend visible l’évolution de la surface forestière entre 1990 et 2005 : rouge pour les destructions, vert pour le reboisement. Et plus le polygone est haut, plus le chiffre est important.
Un double clic sur le camembert représentant un pays, et le compteur du nombre d’hectares défile sous vos yeux, quasiment en temps réel. Un tableau (en anglais) résume tous les chiffres et donne le résultat… trop souvent négatif.
Le Google Earth KML File est une idée de l’Américain David Tryse. Pour ses calculs, il s’est basé sur les chiffres officiels des pays, de Greenpeace, du World resources institute (WRI), et de la FAO.
Si l’on y regarde de plus près, l’Europe et l’Asie sont plutôt bons élèves, mais l’Amérique du Sud, l’Océanie et une grosse part de l’Afrique ont dépassé le niveau d’alerte.
(Crédit photo : Google Earth)
LES SOURCES DE CET ARTICLE :
Article du site TreeHugger
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